Simple suggestion and advice
Je propose à tous les écrivains ou journalistes palestiniens, lorsqu'ils parlent de ou avec tout responsable palestinien, peu importe son organisation et sa position, de le mentionner par son nom propre ou son titre professionnel sans l'appeler le leader, le combattant, le héros, le grand moudjahid, son excellence, son bonheur, ou le général inspiré, le leader à la hauteur de la patrie, le dernier rempart ou le symbole de la nationalité, ou son excellence le président, etc. Je suggère également à ces (leaders) de demander aux journalistes de les nommer par leurs noms propres, car les titres précédents sont devenus dissociés de la réalité et entre eux et la situation du peuple et de la cause se crée un grand fossé, et ils sont devenus une source de moquerie pour les foules, car la plupart de nos dirigeants et généraux n'ont pas mené de véritable bataille ou confrontation avec l'ennemi et n'ont même pas jeté une pierre, comme le faisaient les héros de l'Intifada des pierres.
Lorsque les dirigeants étaient réellement des dirigeants, nous les appelions Abu Amar, Abu Jihad, Abu Iyad ou le camarade George Habache, etc., et ils ne s'en plaignaient pas ou ne s'en offensaient pas, contrairement aux faux dirigeants d'aujourd'hui, qui, si vous les appelez par leur nom propre, vous regardent d'un œil torve comme si vous les insultiez.
Nous devons chercher le héroïsme, le leadership, la bravoure, le véritable patriotisme et le sacrifice pour la patrie dans les listes de martyrs et de détenus dans les prisons de l'occupation et parmi les rares vivants opprimés et en détresse.
Que Dieu ait pitié de celui qui connaît sa juste valeur.
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