
Trump… De la frappe contre le Qatar à l'assassinat de Charlie Kirk
Ce qui s'est passé au cours des derniers jours place le monde devant un tableau politique et militaire d'une grande gravité, mené par le président américain actuel Donald Trump avec ses politiques imprudentes. La frappe contre le Qatar n'était pas simplement une frappe israélienne passagère, mais une décision stratégique reflétant une orientation américaine affichée qui repose sur l'utilisation de la force brute pour réaffirmer l'autorité américaine dans la région. Sur le sol américain, l'assassinat du jeune conservateur Charlie Kirk a révélé le visage caché de cette politique, où le sang est utilisé comme outil dans le conflit intérieur tout comme il l'est à l'étranger.
La frappe contre le Qatar, un allié des États-Unis, envoie un message retentissant selon lequel personne dans la région n'est à l'abri de la punition s'il tente de sortir des lignes tracées ou adopte des positions soutenant les Palestiniens. Le Qatar, qui abrite de grandes bases militaires américaines et est un partenaire économique et diplomatique de Washington, a découvert que cela ne lui procure pas un abri protecteur si ses politiques sont en désaccord avec la vision conjointe américaine et israélienne. Cette frappe n'aurait pas eu lieu sans un feu vert direct de Trump, qui pense qu'attiser les feux dans la région sert ses objectifs stratégiques.
Dans le même temps, le sol américain a été secoué par le crime de l'assassinat de Charlie Kirk, le jeune qui représentait une voix montante pour la nouvelle génération de conservateurs. La balle du tireur qui a pénétré son cou devant son public à l'Université de Utah Valley n'était pas un incident isolé, mais un reflet d'un climat de provocation et de division alimenté par Trump lui-même. L'ironie est que le président s'est empressé d'exploiter le sang de Kirk, annonçant depuis le Pentagone qu'il lui accorderait la "médaille présidentielle de la liberté" après sa mort, dans une scène où le sang est utilisé pour consolider son image de leader incontournable.
Rassembler ces deux événements sous l'égide de la politique de Trump n'est pas une invention. L'homme qui a encouragé la militarisation de la politique étrangère est le même qui a alimenté la division intérieure et a fait de la violence un outil légitime pour atteindre ses objectifs. La frappe contre le Qatar envoie un message à l'étranger que Washington punira quiconque oserait se solidariser avec la Palestine, même s'il est un allié. Et l'assassinat de Kirk envoie un message à l'intérieur que le conflit entre la droite et la gauche ne s'arrêtera pas aux frontières des débats, mais pourrait aller jusqu'au sang dans les places publiques.
Trump ne voit pas dans le sang une catastrophe, mais une opportunité. À l'extérieur, le sang arabe et islamique justifie davantage d'interventions et de domination, et à l'intérieur, le sang des conservateurs est utilisé pour mobiliser les bases électorales et ancrer l'image d'un président qui ne plie pas devant les "anarchistes libéraux". Selon cette logique, Trump est le véritable lien entre la frappe contre le Qatar et l'assassinat de Kirk, car il a créé l'environnement qui a produit les deux crimes, et c'est lui qui a directement bénéficié politiquement de ces derniers.
Le message le plus dangereux ici est que le monde fait face à un président américain qui n'hésite pas à utiliser des outils de meurtre, que ce soit par le biais d'avions et de missiles au Moyen-Orient, ou par un discours incitatif qui déclenche la violence dans les universités américaines. Pour Trump, le sang n'est qu'un moyen de remodeler le paysage politique à son avantage, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur.
Quant aux Arabes, la frappe contre le Qatar les met tous face à la réalité choquante : aucune protection de Washington, ni d'immunité par des alliances. Israël frappe où il le souhaite avec le feu vert de la Maison Blanche, tandis que le monde arabe se contente de déclarations. Et en Amérique même, où la démocratie est censée être un modèle, un jeune homme au début de sa vie tombe sous une balle politique, tandis que le président applaudit la scène et la transforme en une médaille d'honneur électoral.
Nous sommes face à un moment crucial et sérieux : Trump, par ses politiques, lie les sangs dans le Golfe et les sangs en Utah. Si le monde ne réalise pas la gravité de cette phase, alors ce qui vient sera plus violent, que ce soit dans la région arabe qui pourrait voir davantage de capitales sous le feu, ou à l'intérieur américain qui pourrait glisser vers une guerre civile politique.
Aujourd'hui, Trump n'est pas qu'un président, mais un projet sanglant transcendant les frontières, utilisant le meurtre comme outil de gouvernance. De Qatar à Utah, et de Gaza aux universités américaines, les tableaux se ressemblent : du sang coule, et un discours arrogant déclare que seul le "président fort" détient les clés de la stabilité ou du chaos.

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