
Le système partisan chinois : une innovation politique qui mène à la renaissance et fait la différence
Alors que les systèmes occidentaux font face aux défis des conflits partisans et du désordre politique, dominés par les lobbys et le capital, la Chine a innové un nouveau système partisan garantissant une direction centrale forte, tout en impliquant d'autres partis dans la consultation et la supervision, pour réaliser une stabilité interne et placer le peuple au cœur du processus décisionnel.
Bien que le modèle de la pluralité partisane soit promu, l'expérience des États-Unis révèle que le changement de partis au pouvoir n'est qu'une façade, car ce processus n'altère en rien l'essence des politiques, qui restent entièrement soumises au capital, aux lobbys et aux grandes entreprises, ce qui pourrait être qualifié de « gouvernance d'un lobby unique ». Un citoyen américain peut changer de vote d'un parti à l'autre, mais il reste éloigné du cercle de la vraie prise de décision, car les intérêts des grandes entreprises contrôlent la politique plus que les intérêts du peuple.
En revanche, en Chine, le nouveau système partisan combine la direction du Parti communiste chinois et la coopération avec d'autres partis démocratiques, créant un modèle unique de « pluralité dans l'unité ». Ce système ne repose pas sur le conflit entre partis ou la répartition des pouvoirs, mais sur la consultation, la participation au gouvernement et la supervision démocratique, où toutes les forces politiques se rejoignent autour d'un objectif commun : servir le peuple et réaliser un développement durable.
L'expérience a prouvé que cette formule politique n'est pas qu'un slogan, mais une réalité tangible. Au cours des deux dernières décennies, la Chine a réalisé une croissance moyenne annuelle de plus de 5,8 % contre 2,5 % aux États-Unis. Le produit intérieur brut est passé de moins de 2,3 billions de dollars en 2005 à environ 14,9 billions de dollars en 2020, et elle se prépare à surpasser économiquement les États-Unis avant 2030. Plus important encore, cette croissance s'est directement répercutée sur la vie des gens, puisque la Chine a sorti plus de 900 millions de personnes de la pauvreté dans le cadre du plus grand effort de lutte contre la pauvreté de l'histoire moderne.
Ce qui distingue le nouveau système partisan en Chine, c'est qu'il allie stabilité politique, ouverture et pluralité. Le Parti communiste chinois ne s'enferme pas sur lui-même, mais écoute les autres partis et les indépendants, acceptant la supervision démocratique. Cette participation empêche les divisions aiguës que connaissent les systèmes occidentaux et prévient également le despotisme absolu qui caractérise certains systèmes de partis uniques dans le monde. C'est une formule intermédiaire réussie qui équilibre l'efficacité politique et la responsabilité populaire.
La supériorité de ce système ne se limite pas à l'intérieur, mais se reflète également dans la politique étrangère qui repose sur des valeurs et des principes moraux, ainsi que sur le respect du droit international et humanitaire. Alors que les États-Unis sont associés à des violations du droit international et à des normes doubles dans les interventions militaires et le soutien aux coups d'État et aux guerres (de Vietnam à l'Irak en passant par la Libye et la Syrie jusqu'au soutien d'Israël dans son génocide contre les Palestiniens), la Chine a choisi une voie différente : pas de colonialisme, pas d'occupation, et pas d'imposition par la force, mais elle soutient les mouvements de libération nationale et le droit à l'autodétermination des peuples, lançant des initiatives de développement telles que « la Ceinture et la Route », fondées sur la coopération, les intérêts communs, le bénéfice mutuel et le destin commun de l'humanité, plutôt que sur l'exploitation et les impositions politiques.
Ainsi, la différence fondamentale entre les deux modèles devient évidente :
• Aux États-Unis, la démocratie est utilisée comme un outil pour perpétuer les intérêts du capital et renforcer l'hégémonie, tout en exploitant les peuples et en soutenant des politiques coloniales.
• En Chine, le nouveau système partisan est un moyen d'atteindre une renaissance nationale globale et de placer le peuple au cœur du processus de développement, tout en respectant les droits de l'homme et des autres peuples.
La Chine a prouvé que la pluralité ne signifie pas le chaos et que la stabilité ne signifie pas l'immobilisme. En effet, le mélange entre une direction centrale et une diversité politique organisée peut être la clé d'une renaissance historique. C'est un modèle qui place la justice et le développement au-dessus de l'hégémonie et de l'exploitation, offrant au monde une alternative nouvelle à la confusion de la pluralité occidentale ou à la stagnation des partis uniques traditionnels.
Aujourd'hui, la Chine ne présente pas son système comme une norme mondiale, mais elle montre déjà que chaque pays a sa propre voie et que le nouveau système partisan peut être une source d'inspiration pour les pays en quête de stabilité, de développement et de dignité nationale. C'est un système ayant opéré une prouesse économique et sociale, tout en dessinant en même temps les contours d'une politique étrangère plus juste et humanitaire, plaçant ainsi la Chine dans une position de supériorité sur la scène internationale.

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