Stop au massacre à Gaza d'abord, la vie humaine est plus importante que tout plan politique
Articles

Stop au massacre à Gaza d'abord, la vie humaine est plus importante que tout plan politique

Gaza saigne chaque heure, le sang souille les rues, les hôpitaux et les écoles s'effondrent sous les bombardements incessants, et les civils meurent sans arrêt, tandis que les enfants, les femmes et les personnes âgées vivent l'horreur moment par moment. Au milieu de cette folie, des questions simples et brûlantes résonnent à chaque coin : Quand le feu cesse-t-il ? Quand l'aide parviendra-t-elle pour sauver des vies et mettre fin à la guerre de la faim et reconstruire ce qui a été détruit ? Et qui protège les innocents de cette mort quotidienne qui n'épargne personne.

Tout plan politique, peu importe ses slogans de paix ou de réhabilitation, échoue s'il ne place pas l'arrêt du meurtre et du génocide comme priorité absolue et immédiate. Les Palestiniens ne peuvent pas attendre que les points politiques soient négociés ou que des armes soient remises ou que des conditions floues soient établies, car des vies sont perdues chaque jour.

La demande israélienne de désarmer le Hamas est souvent présentée comme une condition préalable à un cessez-le-feu, mais en réalité, elle ouvre la porte à une série de demandes interminables. Le processus commence par le démantèlement des roquettes et des capacités militaires, puis s'étend à la destruction des tunnels, suivi de la remise des dirigeants, puis de leur extermination, et de fouilles répétées. Toute petite infraction ou élément incomplet est utilisé comme prétexte pour poursuivre le bombardement. De cette manière, toute trêve potentielle devient un test permanent pour les Palestiniens, tandis que l'occupation reste dominate sans frein et le meurtre des civils se poursuit quotidiennement. Ce mécanisme montre que tout plan politique ou tout slogan sur la paix reste creux, à moins d'être précédé par une garantie d'arrêt permanent de l'effusion de sang et de protection de la vie des gens immédiatement.

Le plan américain-israélien récemment annoncé, qui n'a pas été élaboré par la partie légitime, les Palestiniens, n'a pas fourni de mécanisme contraignant pour arrêter immédiatement les bombardements ou protéger les civils, mais s'est concentré sur des conditions à long terme sans lien avec la sauvegarde des vies. Aujourd'hui, les Palestiniens ont besoin d'un arrêt permanent du massacre, de l'entrée de l'aide humanitaire et de la protection des gens immédiatement avant toute négociation politique.

La communauté internationale, y compris la communauté arabe et islamique, se contente souvent de gérer la crise au lieu de la résoudre, craignant d'affronter les grandes puissances ou de faire face aux conséquences d'une intervention directe, laissant ainsi les civils sans véritable protection face à la machine à tuer continuelle.

Le message est clair : la vie humaine d'abord, puis tout plan politique. Il n'y a pas de paix ou de véritable reconstruction tant que les bombardements se poursuivent et tant que l'occupation persiste sans frein. Le cessez-le-feu et la protection des civils ne sont pas une option, mais un devoir humanitaire urgent pour la communauté internationale et les parties précises du conflit.

Jusqu'à ce que cela se réalise, Gaza restera synonyme de tragédie quotidienne, et les questions simples sur la vie des civils resteront sans réponse. La priorité doit être donnée à l'arrêt de la mort et à la protection des gens avant tout point politique ou tout plan à long terme.

Cet article exprime l'opinion de son auteur et ne reflète pas nécessairement l'opinion de l'Agence de Presse Sada.