
« Le travail présente une histoire humaine touchante ».. La réalisatrice Zina Abdul Baqi commente « Walad Bint Shayb »
SadaNews - Zina Ashraf Abdul Baqi, la fille de l'artiste Ashraf Abdul Baqi, se distingue comme une voix de réalisation différente dans le paysage égyptien. Pour Abdul Baqi, le titre de son père représente une responsabilité doublée pour prouver que le talent se construit par la patience et la connaissance, et ne s'hérite pas.
Depuis ses débuts dans le monde du cinéma, Zina a été attirée par la puissance de l'image pour exprimer l'inexprimable et par le moment capable de résumer toute une histoire. Lorsqu'elle se tenait derrière la caméra pour sa première expérience de réalisation dans la série "Walad Bint Shayb", elle était parfaitement consciente de ce qu'elle souhaitait présenter.
L'objectif de Zina avec la série "Walad Bint Shayb" n'était pas seulement de présenter une œuvre sociale, mais elle a cherché à livrer une histoire humaine touchante.
Dans un entretien avec le site "Al Arabiya.net" et "Al Hadath.net", Zina a abordé les détails de la série, comment elle a accueilli l'idée et a travaillé dessus, ainsi que les coulisses du travail avec son père, l'artiste Ashraf Abdul Baqi.
La jeune réalisatrice Zina Ashraf Abdul Baqi a précisé que la série "Walad Bint Shayb" représente une étape exceptionnelle dans sa carrière artistique, car elle allie sa nostalgie pour la simplicité à sa passion pour l'expérimentation.
Elle a précisé que le travail a émergé d'une idée visant à explorer la relation entre les générations et les changements que les valeurs et les concepts subissent. Elle a confirmé que la série discute brièvement "de la manière dont les jeunes perçoivent les anciens et comment les anciens les perçoivent, et ce qui les unit finalement malgré la distance", notant qu'elle a aimé le scénario dès sa lecture.
Elle a ajouté que le tournage de l'œuvre s'est déroulé dans une ambiance familiale, ce qui a conféré à l'expérience une dimension humaine particulière. Elle a précisé que la présence de son père, l'artiste Ashraf Abdul Baqi, dans l'équipe de travail était "un facteur de réassurance, pas d'autorité", et qu'il lui a donné toute la liberté d'exprimer sa vision sans intervention.
Elle a également noté que la collaboration avec Leila Ahmed Zaher a constitué un ajout important à la série, grâce à son intelligence artistique et à sa capacité à passer de l'émotion à l'innocence dans une même scène. Elle a déclaré l'avoir choisie pour sa présence naturelle.
Zina a confirmé qu'elle tenait à ce que la série inclue une dose de comédie humaine qui suscite le rire sans perdre l'empathie pour les personnages. Elle a précisé que l'objectif n'était pas seulement de faire rire, mais de permettre au spectateur de s'identifier à l'histoire.
En conclusion de son entretien, la jeune réalisatrice a affirmé que ce qui lui importe à ce stade n'est pas la célébrité ou la compétition, mais l'honnêteté dans ses choix, car elle ne recherche pas la renommée autant qu'elle souhaite que les gens aiment l'histoire.

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